Terroirs africains soutient la promotion des produits africains. Notre action d'information et de communication se concentre sur l'Europe, et développe des liens fort avec les acteurs des filières de production, de distribution et de consommation, du champs en Afrique à l'assiette.
vendredi 28 novembre 2014
"Certainly Africa can FEED Africa"
Libellés :
Afrique,
agriculture,
CGIAR
Pays/territoire :
Accra, Ghana
jeudi 27 novembre 2014
Le Togo met l’accent sur les filières de production de tubercules
(Agence
Ecofin) - Au Togo, la culture de tubercules a actuellement le vent en
poupe. Illustration de cette tendance, la production de manioc est
passée de 911 642 tonnes en 2012 à 959 889 tonnes en 2013, tandis que
celle de l’igname a augmenté de 133 332 tonnes pour atteindre 864 408
tonnes sur la même période. Quant à la récolte de patate douce, elle a
presque triplé en se situant à 19 957 tonnes en 2013, contre 6807 tonnes
un an plus tôt.
Ces
bonnes performances sont les retombés de l’engagement du gouvernement
togolais à promouvoir la culture des tubercules dans le pays par le
biais du Projet de développement des plantes à racines et tubercules,
plus communément désigné sous le sigle PRT.
Initié
en 2009, ce projet qui a mobilisé un montant de près d’un milliard et
demi de francs Cfa a été cofinancé par l’Etat togolais et certains
partenaires techniques et financiers comme la Banque Populaire pour
l’Epargne et le Crédit (BPEC).
Il
se répartit en trois composantes dédié aux chaînes de valeurs du
manioc, de l’igname ou encore de la pomme de terre. Ces trois grandes
articulations sont sous le contrôle d’une unité de gestion qui coordonne
la politique d’ensemble du projet.
Outre
l’amélioration significative de la production togolaise de tubercules,
le grand défi du PRT est de travailler à la réduction du chômage dans le
pays par l’insertion professionnelle de Togolais âgés de 18 à 35 ans
dans les différentes filières où il intervient. Le projet réunit ces
jeunes en des groupements de dix individus qu’il forme et dont il
facilite l’accès au crédit. L’année dernière, 279 de ces groupements ont
été formés tandis que 691 autres ont bénéficié d’un crédit.
Grâce
à ces efforts, les filières dédiées à la production de tubercules
participent désormais pleinement à la dynamique engagée par le
gouvernement qui, via le Programme National d’Investissement Agricole et
de Sécurité Alimentaire (PNIASA), entend assurer l’autosuffisance
alimentaire du pays et en faire un pôle agricole sous-régional grâce à
une croissance annuelle soutenue de 6% dans ce secteur sur les
prochaines années.
Aaron Akinocho
Pays/territoire :
Lomé, Togo
La Mauritanie engage des réformes foncières pour atteindre son autosuffisance rizicole
(Agence Ecofin) - Dans le but d’atteindre son autosuffisance rizicole, la Mauritanie a lancé un ensemble de mesures visant
à reformer son système foncier actuel. Principal axe de cette réforme,
l’amélioration de la procédure d’immatriculation des terres.
«Cette
procédure derrière laquelle les propriétaires terriens couraient
pendant plusieurs années et même parfois en vain, est désormais
réalisable dans un délai de 2 mois. Les frais d’immatriculation ont été
réduits au strict minimum.» a déclaré le ministre mauritanien des finances Thiam Diombar. En outre, poursuit l’officiel, «la
consécration juridique de la propriété permet aux agriculteurs d’avoir
accès aux financements grâce à la valeur juridique du titre de propriété
qui représente une garantie pour les créanciers potentiels.»
Au-delà
de la réforme foncière, le gouvernement a décidé d’éponger les dettes
des producteurs et a négocié un accord de financement des activités
agricoles avec la Caisse de Dépôt et de Développement, pour un taux
d’intérêt maximal de 6%, rapporte le site d’information Financial Afrik.
La Mauritanie qui produit annuellement 130 000 tonnes couvre actuellement 65% de ses besoins.
Aaron Akinocho
Libellés :
foncière,
Mauritanie,
réforme,
riziculture
Pays/territoire :
Nouakchott, Mauritanie
Mali : 14 milliards de francs Cfa de recettes pour la filière mangue au terme de la saison 2014
(Agence
Ecofin) - Au Mali, la filière mangue a généré 14 milliards de francs
Cfa au terme de la saison 2014. Commentant cette performance qui
constitue un record, Bakary Togola qui préside l’Assemblée permanente
des Chambres d’agriculture du Mali (Apcam) a indiqué sa satisfaction
quant à ce résultat qui n’est que le reflet du niveau de qualité atteint
par la production malienne.
«Aujourd’hui, sur le marché mondial, le label mangue Mali est parmi les produits les mieux vendus au monde», a déclaré le dirigeant. Cependant, M. Togola n’a pas occulté les difficultés rencontrées par la filière, notamment les ravages causés par les insectes ou encore
l’épineuse question de l’emballage qui crée une part importante de la
valeur ajoutée d’un produit.
Le Mali qui produit 200 000 tonnes de mangues, exporte le quart de cette quantité qui est essentiellement constitué de vari
Pays/territoire :
Bamako, Mali
En 2014, les exportations de fruits d’Afrique du Sud vers l’Asie ont presque doublé
(Agence
Ecofin) - Pour les producteurs sud-africains de fruits, l’espoir se
trouve peut-être à l’est. Dans un contexte marqué par une querelle entre
Pretoria et Bruxelles sur les exportations sud-africaines d’agrumes en
raison de la maladie de la tâche noire, Justin Chadwick de l’Association
des producteurs d’agrumes d’Afrique du sud (SACGA) indique que le
volume des exportations vers l’Asie a presque doublé cette année. « Il
semble y avoir une pénurie dans l’approvisionnement mondial en citron,
et en Chine la demande est extrêmement élevée. Aussi, avons-nous
enregistré une année exceptionnelle et nous aurions probablement pu
vendre nos citrons pour le double de leur valeur» a affirmé le dirigeant.
Signe
de la faveur dont jouit la production de la nation arc-en-ciel en
Orient, ses ventes de raisins ont progressé de 60 000 cartons à 400 000
cartons dans l’intervalle d’une année (2013-2014) en Corée du Sud alors
que la demande pour ce fruit est assez faible cette année.
Si
ces ventes progressent, l’impact des mesures prises par Bruxelles
continue à se faire sentir sur le secteur en raison de la prééminence de
ce partenaire commercial. « Le principal problème est que nous
expédions chaque année 45 millions de cartons vers l’Union européenne et
il n’y a pas de marché qui puisse absorber ce volume. De plus l’UE a
des demandes très spécifiques en matière de tailles et de qualité. Les
marché orientaux ne veulent pas de ces produit-là, aussi trouver des
débouchés alternatifs reste un exercice très difficile » a rappelé M. Chadwick.
Aaron Akinocho
mercredi 26 novembre 2014
Autosuffisance en riz : 2 milliards de francs pour les producteurs du Sine-Saloum
Par Rewmi.com
‘’Nous pensons qu’avec l’ensemble des acteurs expérimentés en riziculture pluviale du Sine-Saloum, cette région naturelle du Sine-Saloum va fortement contribuer à l’atteinte de l’autosuffisance rizicole du Sénégal en 2017’’, a expliqué M. Sané, lors de l’atelier de lancement du projet à Kaolack.
L’Etat du Sénégal et l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) ont débloqué une enveloppe de 2 milliards de francs pour accompagner les riziculteurs du Sine-Saloum (Fatick, Kaolack, Kaffrine) dans l’atteinte de l’autosuffisance en riz en 2017, à travers le Projet d’appui à la production durable de riz pluvial, a indiqué, mercredi Oumar Sané, directeur de l’agriculture.
‘’Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS) et de l’atteinte de l’autosuffisance en riz en 2017, il est attendu de la riziculture pluviale une contribution de 40% et de 60% pour la riziculture irriguée’’, a rappelé le directeur de l’agriculture.
‘’Aujourd’hui, en plus d’un investissement dans l’agriculture irriguée, il faut aussi investir dans l’agriculture pluviale. Et ceci va être mis en œuvre dans le Sine-Saloum pour quatre ans, à travers le Projet d’appui à la production durable de riz pluvial’’, a-t-il soutenu, précisant que l’Etat a contribué à hauteur de 10% dans ce financement de 2 milliards de FCFA.
Lancé en présence des techniciens de l’agriculture et producteurs, le projet a pour but de créer les conditions de tirer au maximum possible le potentiel rizicole du Sine-Saloum, selon Oumar Sané.
‘’Le Sine-Saloum a une très forte potentialité qu’il faut valoriser et c’est dans ce sens-là que l’Etat du Sénégal et la JICA ont mis en place ce projet pour venir soutenir une production durable en riz pluvial’’, a-t-il ajouté.
‘’Certes il y a beaucoup d’interventions de projets, de structures, dans cette zone où il y a des localités autosuffisants en riz, mais ce nouveau projet apporte plusieurs appuis dont le renforcement de capacité, une formation dans la maintenance des équipements, aider à l’organisation des riziculteurs’’, a-t-il encore souligné.
Libellés :
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riziculture,
sénégal,
Sine-saloum
Pays/territoire :
Dakar, Sénégal
vendredi 14 novembre 2014
Briefing de Bruxelles: « Systèmes alimentaires mondiaux et impact local : Le Rôle joué par l’Agroalimentaire et les Partenariats de Développement dans le Développement de l’Agriculture en Afrique »
13/11/2014
Le prochain Briefing de Bruxelles sur le Développement sur le thème « Systèmes alimentaires mondiaux et impact local : Le Rôle joué par l’Agroalimentaire et les Partenariats de Développement dans le Développement de l’Agriculture en Afrique » se tiendra le 25 novembre 2014 (9h00-13h00) au sein du Secretariat ACP (451 Avenue Georges Henri, 1200 Brussels, room C).
La transformation du secteur agro-industriel africain représente un défi important afin d‘assurer la sécurité alimentaire de l’Afrique et de stimuler son développement. Une approche différenciée en matière de partenariats, mettant l‘accent sur le développement des secteurs privés compétitifs locaux, est essentielle pour développer le secteur agricole en Afrique.
Dans ce contexte, l’objectif de ce Briefing est d‘identifier les stratégies et les approches permettant d’exploiter le potentiel offert par les partenariats de développement avec le secteur privé afin de favoriser le développement de l’agriculture africaine.
Ce briefing devrait permettre une meilleure compréhension des besoins et des contraintes du secteur agricole local ainsi qu’un renforcement des liens entre le secteur privé et la coopération au développement. Au niveau européen, la réunion a également pour but de contribuer à l’élaboration d’un cadre de dialogue et d’action conjointe efficace avec le secteur privé.
Parmi les intervenants, figureront des représentants de la Commission européenne (DG Agri et DG Devco), d’organisations paysannes africaines ( SACAU), de groupe agroalimentaires européens implantés en Afrique, de la Banque Européenne d’Investissement, du ministère allemand de la coopération économique et développement (BMZ) et de l’Union Africaine.
Documents Supplémentaires
Remarques introductives: Secrétariat ACP, Commission européenne, BMZ, CTA
Panel 1: Contexte: Agro-industrie et PPP en Afrique
Ce panel examinera le partage des expériences et des enseignements tirés de partenariats public-privés (PPP) et les alliances multipartites visant à accélérer les investissements pour une transformation de l’agriculture africaine basée sur les priorités agricoles et commerciales nationales et régionales.
Panélistes:
- Aperçu de l’agro-industrie en Afrique: tendances, nouvelles opportunités et modèles d’investissement alternatifs
Hafiz Mirza, Chef de la Section Investissement, CNUCED [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Modèles de coopération de l’UE avec le secteur privé : aperçu général
Wilhelm Elfring, Consultant to the EU-working group private sector development in agriculture [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Agro-industrie en Afrique: mise en ouvre des engagements de Malabo
Komla Bissi, Conseiller CAADP Pillier II, DREA, Commission de l’Union Africaine [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Mécanismes de financement qui renforcent la production locale et régionale et le commerce
Heike Rüttgers, Chef de Division, Gestion de portefeuille et politique ACP, Facilité d’investissement, la Banque européenne d’investissement [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Un rôle accru pour les organisations de producteurs dans l’agro-industrie et les PPP
Theo de Jager, Président, Southern African Confederation of Agricultural Unions (SACAU) [Vidéo|Présentation|Résumé]
Panel 2: Développer et amplifier les succès par des partenariats stratégiques
Ce panel présentera des exemples concrets de modèles inclusifs dans des secteurs spécifiques et des chaînes de valeur où des succès significatifs ont été réalisés et les raisons du succès analysées.
Panélistes:
- Des partenariats inclusifs qui pour être renforcés en agenda post-2015
Eugenia Serova, Directrice, Division des Infrastructures rurales et Agro-industries, FAO [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Platforme innovante en appui à l’agro-industrie en Afrique
Henri A. Minnaar, Conseiller Principal, Programme Agriculture & Sécurité alimentaire, NEPAD Business Foundation [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Succès du secteur privé africain dans le développement de l’agro-industrie
Daniel Gad, Directeur Général, Omega Farms & Ethiopian Horticulture Co-operative [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Agro-industries et partenariats en appui au développement durable en Afrique
Martin Märkl, Senior Manager, Développement durable, BayerCropScience [Vidéo|Présentation|Résumé]
La transformation du secteur agro-industriel africain représente un défi important afin d‘assurer la sécurité alimentaire de l’Afrique et de stimuler son développement. Une approche différenciée en matière de partenariats, mettant l‘accent sur le développement des secteurs privés compétitifs locaux, est essentielle pour développer le secteur agricole en Afrique.
Dans ce contexte, l’objectif de ce Briefing est d‘identifier les stratégies et les approches permettant d’exploiter le potentiel offert par les partenariats de développement avec le secteur privé afin de favoriser le développement de l’agriculture africaine.
Ce briefing devrait permettre une meilleure compréhension des besoins et des contraintes du secteur agricole local ainsi qu’un renforcement des liens entre le secteur privé et la coopération au développement. Au niveau européen, la réunion a également pour but de contribuer à l’élaboration d’un cadre de dialogue et d’action conjointe efficace avec le secteur privé.
Parmi les intervenants, figureront des représentants de la Commission européenne (DG Agri et DG Devco), d’organisations paysannes africaines ( SACAU), de groupe agroalimentaires européens implantés en Afrique, de la Banque Européenne d’Investissement, du ministère allemand de la coopération économique et développement (BMZ) et de l’Union Africaine.
Documents Supplémentaires
- Programme et présentation
- Biographies des intervenants (bientôt disponible)
- Photos (bientôt disponible)
- Reader (recherche de fond) Transformation Agricole en Afrique |Financement des chaînes de valeur agricoles
- Ressources sur les PPP
Remarques introductives: Secrétariat ACP, Commission européenne, BMZ, CTA
Panel 1: Contexte: Agro-industrie et PPP en Afrique
Ce panel examinera le partage des expériences et des enseignements tirés de partenariats public-privés (PPP) et les alliances multipartites visant à accélérer les investissements pour une transformation de l’agriculture africaine basée sur les priorités agricoles et commerciales nationales et régionales.
Panélistes:
- Aperçu de l’agro-industrie en Afrique: tendances, nouvelles opportunités et modèles d’investissement alternatifs
Hafiz Mirza, Chef de la Section Investissement, CNUCED [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Modèles de coopération de l’UE avec le secteur privé : aperçu général
Wilhelm Elfring, Consultant to the EU-working group private sector development in agriculture [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Agro-industrie en Afrique: mise en ouvre des engagements de Malabo
Komla Bissi, Conseiller CAADP Pillier II, DREA, Commission de l’Union Africaine [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Mécanismes de financement qui renforcent la production locale et régionale et le commerce
Heike Rüttgers, Chef de Division, Gestion de portefeuille et politique ACP, Facilité d’investissement, la Banque européenne d’investissement [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Un rôle accru pour les organisations de producteurs dans l’agro-industrie et les PPP
Theo de Jager, Président, Southern African Confederation of Agricultural Unions (SACAU) [Vidéo|Présentation|Résumé]
Panel 2: Développer et amplifier les succès par des partenariats stratégiques
Ce panel présentera des exemples concrets de modèles inclusifs dans des secteurs spécifiques et des chaînes de valeur où des succès significatifs ont été réalisés et les raisons du succès analysées.
Panélistes:
- Des partenariats inclusifs qui pour être renforcés en agenda post-2015
Eugenia Serova, Directrice, Division des Infrastructures rurales et Agro-industries, FAO [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Platforme innovante en appui à l’agro-industrie en Afrique
Henri A. Minnaar, Conseiller Principal, Programme Agriculture & Sécurité alimentaire, NEPAD Business Foundation [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Succès du secteur privé africain dans le développement de l’agro-industrie
Daniel Gad, Directeur Général, Omega Farms & Ethiopian Horticulture Co-operative [Vidéo|Présentation|Résumé]
- Agro-industries et partenariats en appui au développement durable en Afrique
Martin Märkl, Senior Manager, Développement durable, BayerCropScience [Vidéo|Présentation|Résumé]
Libellés :
ACP,
Brussels Briefing,
CTA
Pays/territoire :
Bruxelles, Belgique
mercredi 5 novembre 2014
SIAL - Un nouveau regard sur l'Afrique / A new vision of Africa
A l'occasion du SIAL 2014 à Paris, un nouveau regard sur l'Afrique
Libellés :
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Paris, France
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